Les marchés boursiers nord-américains semblent optimistes en ce début d'année, alors que les investisseurs sont confiants devant les prévisions de croissance économique pour les États-Unis.
C'est sans compter que l'on s'attend également à une inflation plus modérée du côté de la Chine, qui voit un ralentissement de sa croissance.
Lundi vers 7h10, les contrats à terme des indices de la Bourse de New York étaient en hausse. Selon ces contrats, le Dow Jones gagne 70 points, à 11 583 points, le S&P 500 monte de 7,3 points, à 1 260 points, et le Nasdaq progresse de 18,75 points, à 2 235 points.
En Europe, les principales bourses sont en forte hausse depuis l'ouverture de la séance, mais Londres fait bande à part. Alors qu'approche la mi-séance là-bas, le FTSE 100 de Londres recule de 1,2 %, le CAC 40 de Paris gagne 2 % et le DAX de Francfort avance de 1,4 %.
En Asie, les marchés ont commencé l'année 2011 avec de solides gains, alors que le Hang Seng de Hong Kong a pris 1,7 %. La Bourse de Tokyo était fermée.
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Notre section sur la revue des marchés boursiers
Actualité
Les tensions reprennent entre le Canada et les États-Unis concernant le bois d'œuvre, alors que Washington accuse la Colombie-Britannique de classer erronément le bois comme matériau de récupération pour permettre aux compagnies de profiter de subventions.
Le constructeur automobile italien Fiat envisage d'augmenter à plus de 50 % ses parts dans l'américaine Chrysler avant que celle-ci ne revienne en bourse.
Le pétrole a atteint un sommet en 27 mois sur les marchés ce matin, gagnant près de 0,8 %, ou 72 cents US, à 92,10 $ US, un prix qui n'a pas été vu depuis le 7 octobre 2008.
Indicateurs économiques
Aucun indicateur économique n'est prévu aujourd'hui au Canada
Aux États-Unis, l'indice manufacturier ISM du mois de décembre doit être dévoilé. Les économistes sondés par Bloomberg prévoient qu'il augmentera de 0,4 point, passant de 56,6 à 57 points.
Les dépenses de construction seront aussi annoncées pour le mois de novembre au sud de la frontière. Les économistes tablent sur un ralentissement de l'augmentation des dépenses, à 0,2 %. La hausse a été de 0,7 % le mois précédent.
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