La Bourse de Toronto a viré au rouge vers midi, pendant que celle de New York semble s'essouffler malgré les bons résultats publiés ce matin à Wall Street.
Au Canada, l'indicateur économique avancé a encaissé un maigre recul, un premier depuis plus d'un an. De plus, le nombre de prestataires d'assurance-emploi n'a pratiquement pas bougé au mois d'août, selon ce qu'indique Statistique Canada.
Aux États-Unis, la baisse des demandes hebdomadaires d'assurance-emploi a été contrebalancée par une révision à la hausse des demandes la semaine précédente.
Vers 11h45, le portrait est le suivant sur les marchés nord-américains :
- Le S&P/TSX à Toronto se replie de 35 points, ou 0,3 %, à 12 615 points;
- Le S&P 500 s'apprécie de 0,14 %, ou 2 points, à 1 180 points;
- Le Dow Jones monte de 27 points, ou 0,3 %, à 11 140 points;
- Le Nasdaq avance de 3 points, ou 0,13 %, à 2 461 points;
- Le baril de pétrole glisse de 0,99 $ US, ou 1,2 %, à 81,55 $ US;
- L'once d'or recule de 4,70 $ US, ou 0,35 %, à 1 339,10 $ US;
- Le dollar canadien avance de 0,32 cent US, ou 0,33 % US, à 97,58 cents US.
Au Canada, l'indicateur avancé composite pour le mois de septembre a fléchi de 0,1 %. Il s'agit du premier recul depuis avril 2009. Mais la moitié des composantes ont enregistré une hausse, selon ce qu'indique Statistique Canada.
Le nombre de prestataires d'assurance-emploi au Canada est demeuré pratiquement stable au mois d'août, avec 671 200 prestataires, selon Statistique Canada.
Les demandes d'assurance-emploi aux États-Unis la semaine dernière ont reculé de 23 000, passant à 452 000 demandes. Les économistes attendaient 453 000 demandes. Cependant, les demandes pour la semaine précédente ont été revues à la hausse de 13 000 demandes.
Également à souligner, le titre de Bombardier s'apprécie de plus de 3,5 %, ou 18 cents, à 5,25 $, après l'annonce d'un rachat de dette et d'un refinancement pouvant totaliser au moins un milliard $ US.
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