L’heure est à l’optimisme sur les marchés. Les investisseurs ont fait fi du départ en congé de maladie du PDG d’Apple et des résultats décevants de Citigroup. Après un léger recul en avant-midi, les Bourses ont gardé le cap vers la croissance.
Toronto connaît aujourd’hui sa plus forte progression depuis une semaine. New York continue de croître après une phase de progression qui dure depuis sept semaines.
«L’Europe a donné le ton alors que les marchés outre-Atlantique étaient encouragés par les mesures visant à corriger les difficultés qu’ont certains pays avec leur dette souveraine, analyse Stephen Gauthier, stratège et gestionnaire de portefeuille principal chez Fin-XO. Le fait que la Banque du Canada ait laissé son taux inchangé a également été bien perçu par les investisseurs.»
À la fermeture, le portrait est le suivant à Toronto et New York :
- Le S&P/TSX à Toronto monte de 119 points, ou 0,89 %, à 13 559 points;
- Le S&P 500 à New York gagne 1,81 point, ou 0,14%, à 1 295 points;
- Le Dow Jones avance de 50,63 points, ou 0,43 %, à 11 837 points;
- Le Nasdaq progresse de 10,55 points, ou 0,38 %, à 2 765 points;
- Le baril de pétrole recule de 23 cents US, ou 0,29 %, à 91,27 $ US;
- L'once d'or s'apprécie de 5,70 $ US, ou 0,42 %, à 1 366 $ US;
- Le dollar canadien lâche 0,31 cent US, ou 0,31 %, à 100,76 cents US.
L’heure est à l’optimisme sur les marchés. Les investisseurs ont fait fi du départ en congé de maladie du PDG d’Apple et des résultats décevants de Citigroup. Après un léger recul en avant-midi, les Bourses ont gardé le cap vers la croissance.
Toronto connaît aujourd’hui sa plus forte progression depuis une semaine. New York continue de croître après une phase de progression qui dure depuis sept semaines.
«L’Europe a donné le ton alors que les marchés outre-Atlantique étaient encouragés par les mesures visant à corriger les difficultés qu’ont certains pays avec leur dette souveraine, analyse Stephen Gauthier, stratège et gestionnaire de portefeuille principal chez Fin-XO. Le fait que la Banque du Canada ait laissé son taux inchangé a également été bien perçu par les investisseurs.»
À la fermeture, le portrait est le suivant à Toronto et New York :
- Le S&P/TSX à Toronto monte de 119 points
L’heure est à l’optimisme sur les marchés. Les investisseurs ont fait fi du départ en congé de maladie du PDG d’Apple et des résultats décevants de Citigroup. Après un léger recul en avant-midi, les Bourses ont gardé le cap vers la croissance.
Toronto connaît aujourd’hui sa plus forte progression depuis une semaine. New York continue de croître après une phase de progression qui dure depuis sept semaines.
«L’Europe a donné le ton alors que les marchés outre-Atlantique étaient encouragés par les mesures visant à corriger les difficultés qu’ont certains pays avec leur dette souveraine, analyse Stephen Gauthier, stratège et gestionnaire de portefeuille principal chez Fin-XO. Le fait que la Banque du Canada ait laissé son taux inchangé a également été bien perçu par les investisseurs.»
À la fermeture, le portrait est le suivant à Toronto et New York :
- Le S&P/TSX à Toronto monte de 119 points, ou 0,89 %, à 13 559 points;
- Le S&P 500 à New York gagne 1,81 point, ou 0,14%, à 1 295 points;
- Le Dow Jones avance de 50,63 points, ou 0,43 %, à 11 837 points;
- Le Nasdaq progresse de 10,55 points, ou 0,38 %, à 2 765 points;
- Le baril de pétrole recule de 23 cents US, ou 0,29 %, à 91,27 $ US;
- L'once d'or s'apprécie de 5,70 $ US, ou 0,42 %, à 1 366 $ US;
- Le dollar canadien lâche 0,31 cent US, ou 0,31 %, à 100,76 cents US.
, ou 0,89 %, à 13 559 points;
- Le S&P 500 à New York gagne 1,81 point, ou 0,14%, à 1 295 points;
- Le Dow Jones avance de 50,63 points, ou 0,43 %, à 11 837 points;
- Le Nasdaq progresse de 10,55 points, ou 0,38 %, à 2 765 points;
- Le baril de pétrole recule de 23 cents US, ou 0,29 %, à 91,27 $ US;
- L'once d'or s'apprécie de 5,70 $ US, ou 0,42 %, à 1 366 $ US;
- Le dollar canadien lâche 0,31 cent US, ou 0,31 %, à 100,76 cents US.