Les marchés semblent déjà célébrer l'Action de grâce à Wall Street, alors que la semaine boursière sera justement écourtée pour la Thanksgiving.
Un peut avant midi, les indices à New York affichent tous une progression de plus de 1 %, le Nasdaq en tête avec un gain qui dépasse 1,8 %.
Le pétrole quant à lui explose de plus de 2 % à la division NYMEX de la Bourse de New York.
Vers 11h45, la situation est la suivante à New York et Toronto :
- Le Nasdaq s'emporte de 46 points, ou 1,9 %, à 2 541 points;
- Le Dow Jones se gonfle de 131 points, ou 1,2 %, à 11 170 points;
- Le S&P 500 bondit de 15 points, ou 1,3 %, à 1 196 points;
- Le S&P/TSX gagne 76 points, ou 0,6 %, à 12 869 points;
- Le baril de pétrole s'enflamme de 1,77 $ US, ou 2,2 %, à 83,02 $ US;
- L'once d'or recule de 6 $ US, ou 0,4 %, à 1 371,60 $ US;
- Le dollar canadien s'envole de 1,27 cent US, ou 1,3 %, à 98,96 cents US.
L'action de Maple Leaf prend une dégelée de plus de 11 % à la Bourse de Toronto, après que Teachers ait confirmé avoir vendu 15 % des actions en circulation de l'entreprise.
L'indice de confiance du Michigan est passé de 67,7 à 71,6 en novembre, alors que les économistes s'attendaient à un indice de 69,5. Il s'agit de son plus haut niveau depuis juin dernier, mais cela reste en deçà des niveaux connus dans la première moitié de l'année.
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La revente de maisons existantes a subi un recul de 8,1 % en octobre aux Etats-Unis, avec un rythme annualisé de 283 000 trnasactions, et le prix médian des maisons a chuté de 14 %, pour passer à 194 900 $ US. Les économistes prévoyaient une légère hausse, avec un rythme annualisé passant de 307 000 à 314 000.
Le nombre de demandes hebdomadaires d'assurance-emploi aux États-Unis a tombé de 34 000, à 407 000 demandes, alors que les économistes prévoyaient 435 000 demandes. Il s'agit du plus bas niveau de demandes hebdomadaires depuis plus de deux ans. Soulignons cependant que c'est un indicateur très volatile, basé sur des relevés hebdomadaires et faisant souvent l'objet de révisions subséquentes.
L'inflation par contre se retrouve à un creux historique pour le mois d'octobre, avec une hausse de 0,9 %, excluant la nourriture et l'essence, depuis octobre 2009.
La demande en biens durables a également baissé de 3,3 % le mois dernier, ce qui représente la plus importante baisse depuis janvier 2009. Les économistes prévoyaient une baisse de 0,2 %.
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