Les marchés américains et canadiens ouvrent sans conviction au lendemain d’une des plus importantes baisses de l’année pour les marchés américains.
Aux États-Unis, les nouvelles inscriptions des données du chômage sont meilleures qu’anticipées. La Banque centrale européenne (BCE) a pris une pause dans son soutien à l’économie.
L’humeur des marchés devient fragile tandis qu’on s’inquiète d’une part que les données décevantes traduisent une reprise économique moins forte que prévu. En même temps, les données favorables alimentent la spéculation sur un retrait de l’intervention de la Fed.
Le S&P/TSX à Toronto perd 17 points, ou 0,14 %, à 12 427 points. À Wall Street, le S&P 500 est au neutre à 1 607 points. Le Dow Jones perd 9 points, ou 0,06 %, à 14 951 points. Le Nasdaq est au neutre à 3 402 points.
Hier, le S&P 500 a perdu plus de 1 %, la pire baisse depuis le 15 avril. Depuis le 21 mai, l’indice, qui comprend les 500 plus grandes capitalisations boursières américaines, a perdu 3 %.
Le pétrole ajoute 0,74 % à 103,80 $ US. L’or s’apprécie de 0,36 % à 1 403 $ US.
L’action de Bombardier gagne 1,85 % à 4,95 $. La société a obtenu un contrat de 771 M$ en lien avec le métro de Stockholm.