L’économie est trop fragile pour que le gouvernement entame une lutte au déficit, croit la Banque de Montréal. Les gouvernements des pays industrialisés devraient continuer à financer des plans de relance, soutient l’institution canadienne.
Les plans de relance ne sont pas inutiles, affirme l’économiste en chef de la Banque de Montréal, Douglas Porter. Le problème, c’est que les gouvernements n’en ont pas fait assez.
Aux États-Unis, le plan de relance a été contrecarré par les restrictions budgétaires des États et des municipalités.
M. Porter estime que le plan de relance canadien n’a contribué qu’à 1% du PIB canadien.