À 95,6, l'indice de risque macroéconomique de Citigroup est aussi élevé que lors de la crise financière de 1999, de la crise européenne de 2011 et de la crise des devises asiatiques de 1998.
Cet indice mesure l'aversion mondiale au risque à l'aide des écarts de crédit, des devises et de la volatilité. Pavilion Corp. s'en formalise peu, puisque le stress financier ne se propage pas pour l'instant. La volatilité accrue des monnaies et des ressources reste conforme à leur moyenne historique. Les obligations de sociétés et l'écart entre les taux auxquels les banques se prêtent entre elles sont très en deçà des seuils de crise. Le coût pour se protéger de défaillances de sociétés recule encore. Enfin, la volatilité des actions reste modeste, tandis que le ratio qui compare les options de vente aux options d'achat d'actions indique que les investisseurs prévoient d'autres gains.