Les Québécois vivent au-dessus de leurs moyens. Comme en Grèce et dans d’autres parties du monde, ils se sont dotés d’un appareil d’État pléthorique et d’un système de retraite trop généreux qu’ils financent en s’endettant. Les politiciens ont jusqu’ici manqué de courage pour corriger la situation. Le légendaire investisseur montréalais plaide en faveur d’un solide coup de barre.