Les banques françaises ont ouvert la voie à une participation du privé en vue d’éviter la faillite de la Grèce.
Dernièrement, les États européens avaient évoqué la possibilité d’allonger l’échéance des obligations grecques à condition d’obtenir l’accord de créanciers privés. Les pays se sont donné l’objectif de reporter l’échéance de 70% de la dette grecque, soit près de 30 milliards d’euros.
Le plan est issu d’une collaboration entre Paris et les banques. Ce sont les banques qui en ont dessiné les grandes lignes, insiste le gouvernement.
Les observateurs attendent maintenant la réaction des institutions financières allemandes. Les banques allemandes et françaises sont les plus importantes créancières de la Grèce.
Avec Bloomberg et Le Monde