L'hebdomadaire financier Barron's prend à partie une poignée de grandes entreprises américaines aux coffres bien garnis, mais qui ne versent pas de dividendes de peur d'envoyer le signal que leur croissance ralentit. Par exemple, Apple et Google ne sont pas endettées et sont assises sur une encaisse de 40 et 24,5 milliards de dollars américains respectivement. Au contraire, les colosses de la technologie Microsoft, Intel et Oracle versent tous trois des dividendes, car ils génèrent plus de capital que ce dont ils ont besoin.