VAL. BOURS. : 7,6 G$ C./BÉN. : 14,8 DIV. : 1,7 % 1 000 $ INVESTI IL Y A 3 ANS VAUT 1 616 $
La forte concurrence et l'économie anémique n'expliqueraient pas toutes les difficultés du détaillant de beignets et de café, pense Kenric Tyghe, de Raymond James. Ses concurrents semblent faire plus d'efforts que Tim Hortons pour augmenter le trafic. L'entreprise adopte une stratégie défensive plutôt qu'offensive sur sa propre patinoire, juge M. Tyghe. L'analyste réitère une recommandation «performance de secteur». Sa cible passe de 52 $ à 50 $.
¹ Il est possible que l'opinion de l'auteur diffère complètement de celle des analystes.
Chaque graphique compare sur un an la croissance d'un titre par rapport à celle de son sous-indice ou indice de référence.
Source : Bloomberg, fermeture du 22-2-2013