Après avoir perdu son emploi, en janvier, Shelley (nom fictif), de Montréal, a eu accès au soutien de la firme de transition de carrière. Mais c'est en faisant une recherche dans l'onglet "Carrières" de LinkedIn qu'elle a vu un poste de vice-président, détail, dans une grande entreprise située au Massachusetts.
Tentée par le poste, elle a fait une recherche, toujours sur LinkedIn, pour voir si elle connaissait un employé de cette boîte. "J'ai alors trouvé une amie, inscrite comme contact sur LinkedIn, qui connaissait un employé de cette société", explique-t-elle. Un contact de niveau 2, comme on les appelle.
Shelley a envoyé son CV à cette amie, qui l'a transmis à son contact dans l'entreprise, assorti d'une référence et du profil LinkedIn de Shelley.
Résultat : la montréalaise a obtenu une entrevue et fait maintenant partie de la liste abrégée des candidats. "Si je n'étais pas allée sur LinkedIn, je n'aurais pas eu connaissance de cette offre ni de contact pour me référer aux recruteurs de l'entreprise", dit-elle.