" Chaque fois qu'une crise survient, cela nous coûte énormément cher, et à la fin, nous ne nous demandons pas pourquoi nous revenons à nos vieilles habitudes. Nous n'avons plus les moyens de traverser ces crises.
Revoyons nos façons de faire, pas seulement en augmentant quelques tarifs ici et là. Nous devons continuer d'investir, mais où il y aura des résultats à long terme, par exemple dans les programmes de prévention en santé, en recherche et dans les innovations sociales.
L'enjeu est d'investir dans des entreprises qui resteront au Québec, qui s'enracineront. Le gouvernement doit prioriser des entreprises qui ne restent pas chez nous pendant qu'elles reçoivent des subventions.
Il y a aussi le problème du manque de relève dans nos PME. Aux États-Unis, ils ont bien compris cette situation : une mesure fiscale a été mise en place pour aider le propriétaire qui vend son entreprise à ses employés. "